Alors oui, on bosse mais comme ce sont #lesvacancespourtous, on peut se rattraper le soir.
Et moi, l’été, je ne rêve que d’apéros, de terrasse, de soirées languissantes, de parasol fluo sur mes cocktails et de cahouettes.
J’ai donc eu la riche idée, il y a quelques jours de proposer à mes anciens collègues de travail un dîner en ville. Me suis dit qu’entre licenciés économiques, l’alcool devrait couler à flot.
Bien m’en a pris, quelle tannée à organiser ce truc là !
Première étape, il faut déterminer qui ça intéresse. Dès le début, c’est compliqué.
Premier texto d’approche : pas de réponse.
Deuxième texto : pas de réponse.
Troisième texto : ah, ça y est, ça commence à bouger. Evidemment, tous les destinataires ne répondront pas. Soit ils sont en vacances, soit ils ne veulent plus voir ta tronche.
Deuxième étape, il faut déterminer une date. Ça commence à se corser sévère.
Moi, j’suis pas difficile, en ce qui concerne les mojitos, j’suis dispo tous les soirs. Et j’étais loin d’imaginer que mes amis avaient des vies aussi palpitantes.
Et va que le samedi, c’est pas bon, tata Germaine est à la maison, le mercredi ; ç’est pas bon non plus, c’est le cousin Henri qui invite et le vendredi … quoi, c’est OK ?? Yeah … on se rapproche des mojitos !
Bon, bref, après moultes échanges (ceux qui répondent à côté de la question ; ceux qui te disent « attends, je vais demander à ma femme/mec ; ceux qui pense que machin peut aussi avoir envie de venir, etc), tu peux estimer que 10 jours après ton premier texto, les choses se dessinent, la date est arrêtée. Quelques jours de répit.
Parce que la blague va recommencer. Ben oui, après la date, il faut connaître le nombre de convives et un peu les goûts de chacun puisque c’est toi qui va devoir trouver et réserver le restaurant.
Alors, tu rebalances un petit texto histoire de … Et nous voilà reparti pour un tour : pas de réponse, réponse à côté de la question, les végétaliens, les vegan, les amateurs de viande, ceux qui n’aiment pas le poisson.
La prochaine fois, mon mojito, j’irai le boire toute seule. Surtout qu’après ce billet, des amis, j’en aurai plus.
Besos à todos
Quand tu veux pour un mojito pour moi !!!
ok, je retiens 🙂
Plus ça va, plus j’apprécie ton blog. Plein d’humour et de finesse ! J’ai envie de dire que, grâce à toi, les juristes paraissent moins prout prout :p
Super article en tout cas 😉 Longue vie à Juriste in the City ! (et bon Mojito quand même)
que c’est gentil ! Merci beaucoup !!
C’est tellement vrai! La dernière fois c’était pour mon anniversaire et j’ai fini par laisser tomber… la prochaine fois je lâcherai pas 😀
Comme le poisson te comprend ! C’est toujours le même calvaire pour lui d’organiser un truc que ce soit dans son bocal ou à l’extérieur ! C’est usant à force et démotivant ! Mais après, on passe (presque) toujours un bon moment, on oublie ce que l’on a enduré et on recommence ! 😉
Je te confirme que nous avons passé une très bonne soirée et que je recommencerai volontiers !
!! Je consens que l ‘organisation n’ a pas dû être facile et frustrante des fois….. Mais on y était et c’était bien sympa!!!
Un grand merci pour avoir pris l’initiative et n’avoir rien lâché! Promis, le prochain rdvs c’est pour nous!
ça valait le coup 🙂
Hé hé, tu m’a fais bien rire, c’est tellement vrai! Dis, tu dis pas ça pour moi, hein, parce que je serai bien venue moi, à l’apéro de cette semaine 🙂
On regretté que tu ne sois pas là d’ailleurs !
Bah oui itou pour moi aussi, même si j’habite en région parisienne, la perspective de boire un mojito avec une juriste me fait sauter dans le TGV illico!!!
Ben tu m’aurais invité, on serait venus et on aurait bu des mojitos avec toi
j’ai pas osé !